Des projets pour bâtir l'avenir

Il y a un an, le 14 octobre 2018, les électeurs décidaient de leur avenir communal.

A Gembloux, le mouvement BAILLI obtenait 40 % des suffrages.

Forts de cette confiance, nos 13 élus au Conseil communal et nos 5 conseillers au CPAS mettent en œuvre le programme du BAILLI, en bonne collaboration avec notre partenaire de majorité.

Les mandataires et les membres du Comité du Mouvement BAILLI vous présentent leurs meilleurs voeux pour 2019 et vous invitent à partager le verre de l'amitié, le samedi 26 janvier 2019 à 16 heures à la Concession Charloteaux-Tupperware, Chaussée de Charleroi 247b à Gembloux. 

Fidèle à notre tradition de mettre en avant, à l’occasion de nos vœux, des lieux empreints de dynamisme, notre Mouvement est très heureux de vous rencontrer dans cet endroit.  A cette occasion Mme Charloteaux, nous présentera les différentes facettes de son activité. 

Soyez toutes et tous les bienvenus, ainsi que vos amis et connaissances. 

Ce lundi 17 septembre, le Bourgmestre Benoît Dispa et la Directrice générale signent officiellement l’acte d’acquisition du site RECUMAS, conformément à une décision prise à l’unanimité par le Conseil communal.

Le Conseil communal de fin mars a débuté par une interpellation citoyenne, par laquelle le collectif gembloutois « Rendons Gembloux hospitalière » a exprimé le souhait qu’une motion soit votée lors d’un futur conseil communal. Par cette motion, la commune s’engagerait à devenir plus hospitalière, notamment en sensibilisant sa population aux questions migratoires et en améliorant l’accueil des personnes migrantes sur son territoire. Bref, Gembloux deviendrait une commune hospitalière. La proposition n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd.

Le Mouvement Bailli a présenté sa liste de 29 candidats. Tous très actifs dans le monde associatif et/ou économique, ils sont représentatifs de la diversité de Gemboux avec un point commun: une envie irrésistible de s'investir à fond pour Gemboux!

Le conseil communal de juin a été l’occasion de présenter les comptes 2017. Et ils viennent confirmer que les finances communales sont saines avec un boni à l’exercice propre de 1,5 million et un boni global d’un peu plus de 5 millions €. A l’extraordinaire, ce sont 4.041.602€ engrangés pour des projets tels que l’aménagement du parking de l’école de Corroy, la signalétique du centre-ville, la cour de récréation de Mazy on encore l’étude pour l’aménagement de la Place de l’Orneau.

Le site des anciennes marbreries Dejaiffe à Mazy avait fait couler beaucoup d’encre lorsque la SPRL Récumas avait voulu s’y installer. A juste titre, les habitants redoutaient des nuisances. Le projet de cette entreprise ne verra finalement pas le jour, mais l’avenir de cette zone est encore incertain. La Ville a donc initié une réflexion autour de celle-ci et aimerait saisir l’opportunité d’acquérir ce terrain afin d’éviter qu’il ne tombe aux mains d’une autre entreprise.

Cela fait maintenant 2 ans et demi que les nouvelles zones de secours ont vu le jour. Le conseil communal a donc profité de la présentation du rapport d’activité 2017 de la zone N.A.G.E afin de s’assurer que tout se passait bien.

Le réaménagement de l’école primaire de Grand-Manil était sur la table du conseil communal de juin. Le cahier spécial des charges a été approuvé. Concrètement, il s’agit d’un agrandissement de l’école. Dans un premier temps, des bâtiments en annexe seront démolis afin de reconstruire un nouveau volume mieux adapté, dans la continuité du bâtiment existant. Les travaux comprendront également la création d’un préau couvert, d’un nouvel espace réfectoire et de nouveaux locaux au rez-de-chaussée, mais également d’une nouvelle classe à l’étage. De quoi accueillir les élèves dans de meilleures conditions.

Andy ROGGE, 35 ans, siège au CPAS depuis 2007.  Il y est reconnu pour sa connaissance des dossiers et son travail de fond. Sa volonté de s’investir dans des projets positifs le conduit aujourd’hui à quitter l’opposition et à rejoindre le mouvement BAILLI.

En signant la Convention des Maires le 17 avril 2013 la Ville de Gembloux a pris un engagement ferme pour le climat. Dans le cadre de la POLLEC ( Politique Locale Energie-Climat) la Ville de Gembloux a élaboré un plan d’action traduisant la stratégie de réduction des émissions de gaz à effet de serre de la commune, à partir d’une approche pragmatique prenant en compte les ressources financières et humaines de la Commune, basé sur une vision du long terme et une stratégie globale. Le plan d’action a été élaboré en concertation avec les différents acteurs du territoire : citoyens, entreprises, agriculteurs, administration.

Nous avons passé une très belle après-midi autour du Vivre Ensemble. Pour ceux qui n'ont pas pu nous rejoindre, voici un petit compte rendu.

Alors que le bail des locaux occupés par la Bibliothèque André Hénin arrivait à échéance sans possibilité de renouvellement, les partenaires du réseau local de lecture publique à Gembloux ont saisi l’opportunité de se regrouper et d’unir leurs forces.

Le 22 mars 2013, Gembloux inaugurait le « Centre Sportif de l’Orneau », construit en bord de la N4 près des terrains de foot. Une vraie révolution pour les sportifs gembloutois, qui attendaient depuis longtemps une telle infrastructure.

En 2014, alors que le Salon d’ensemble des artistes gembloutois battait son plein, l’artiste Annick Malotaux proposait à Benoît DISPA, bourgmestre de Gembloux, la réalisation d’une fresque murale à l’entrée du Foyer communal, sur un mur en béton alors gris et terne.En 2014, alors que le Salon d’ensemble des artistes gembloutois battait son plein, l’artiste Annick Malotaux proposait à Benoît DISPA, bourgmestre de Gembloux, la réalisation d’une fresque murale à l’entrée du Foyer communal, sur un mur en béton alors gris et terne.

En ce début d’année 2018, une convention entre la Ville de Gembloux et l’ASBL RéBBUS a été approuvée par le Conseil communal. Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Que les Gembloutois vont pouvoir bénéficier du BébéBus, une halte-accueil itinérante pour les enfants âgés de 0 à 3 ans. 

Sur la table du conseil communal de janvier, on retrouvait aussi le budget du CPAS. Le budget 2018 se porte bien avec 20.245.498,23 € de dépenses totales pour le service ordinaire. Les recettes prévues sont du même ordre. L’intervention communale, quant à elle, franchit pour la première fois la barre des 3 millions d’euros : elle s’élèvera à 3.030.234,34 €. De quoi investir dans des services, des actions et des projets solidaires.

Les mouvements de jeunesse ont le vent en poupe à Gembloux. Plusieurs fédérations sont représentées de longue date sur le territoire communal, mais pour répondre à la demande croissante des parents, de nouvelles unités ont récemment fait leur apparition. La dernière en date est la nouvelle unité scoute créée à Ernage. Une convention a été conclue entre la commune et cette unité pour mettre à la disposition de celle-ci des annexes inoccupées de l’école communale d’Ernage.  De quoi permettre aux scouts de développer les activités au sec.

Depuis l’adoption du programme de rénovation urbaine, on sait que la place de l’Orneau est appelée à bénéficier d’un relooking afin d’être plus conviviale et fonctionnelle. Cela commence à prendre forme puisque lors du Conseil communal de janvier, l’avant-projet a été présenté par le bureau d’études. L'idée est de créer un réel sentiment de place avec une délimitation claire réalisée grâce à des rangées d'arbres structurantes au nord et au sud de la place. L'avant-projet envisage une circulation à sens unique, comprenant un dépose-minute pour le Collège Saint Guibert. Le reste de la place serait piétonnier avec un filet d'eau qui la traverse pour rappeler la présence de l'Orneau en sous-sol. L'ensemble de la place serait de plain-pied avec la possibilité de couper le filet d'eau afin de permettre aux événements habituels (braderie, marché…) de se dérouler sans problème sur la place de l'Orneau. Une vingtaine de places de parking subsisteraient, mais près de 225 places gratuites ont été recensées à moins de 3 minutes à pied de la place. Il y a également une réflexion sur l'éclairage public. De quoi rendre cette place plus conviviale et attractive. Il est toutefois nécessaire de préciser qu'il s'agit d'un avant-projet et non du projet final. Des modifications seront donc encore apportées, en fonction notamment des concertations en cours.

Le budget 2018 a été présenté au conseil communal de décembre 2017. Et les nouvelles sont plutôt bonnes : le budget reste en boni, les additionnels sont inchangés et les dépenses sont maîtrisées.

Le budget comprend aussi les moyens nécessaires à la réalisation des futurs investissements répondant aux besoins prioritaires des Gembloutois.  11 millions d’euros sont ainsi dégagés pour des projets très variés, parmi lesquels on retrouve notamment :

• l’aménagement de la Place de l’Orneau (1.350.000 €)
• la réfection de la rue Jennay aux Isnes (1.100.000 €)
• l’acquisition du site de l’ancienne marbrerie à Mazy (300.000 €)
• la réalisation d’une liaison Lonzée-Gembloux (864.000 €)
• l’aménagement du parc de la Maladrée (465.000 €)
• la construction de nouvelles classes à l’école de Bossière (475.000 €)
• la rénovation du réfectoire de l’école de Grand-Leez (50.000 €)
• la réalisation de trottoirs (400.000 €)
• la lutte contre les inondations (220.000 €)
• la restauration de monuments commémoratifs (15.000 €)
• …

La Transition est un grand défi de notre société, pour aujourd’hui et pour demain. Elle nous concerne tous et c’est donc avec enthousiasme que nous avons accueilli près de 200 personnes le 22 novembre 2017 au Foyer Communal, pour une nouvelle soirée participative, initiée par le Mouvement Bailli.

La Transition est un grand défi de notre société, pour aujourd’hui et pour demain. Elle nous concerne tous et c’est donc avec enthousiasme que nous avons accueilli près de 200 personnes le 22 novembre 2017 au Foyer Communal, pour une nouvelle soirée participative, initiée par le Mouvement Bailli.

Deux règlements de circulation routière étaient sur la table du conseil communal de novembre : celui de Gembloux et celui de Grand-Leez. Quelques modifications étaient au programme mais, parmi les plus notables, on retiendra le passage de la rue Chapelle-Dieu en sens unique limité (SUL). Qu’est-ce que cela signifie ?  Cette rue à sens unique pourra être empruntée dans les deux sens par les vélos. Cela s’appliquera pour le tronçon compris entre la rue Elisabeth et la rue Reine Astrid.

Depuis quelque temps, des barrières nadar sont disposées à hauteur du pont qui enjambe l’Orneau dans l’Avenue de la Faculté d’agronomie. Elles devraient bientôt disparaître puisque il en a ainsi été décidé par le Conseil communal de novembre. La réfection de plusieurs garde-corps est prévue en différents endroits de l’entité : à l’Avenue de la Faculté, bien sûr, mais aussi à la rue du Laid Mâle, la rue du Village et la rue du pont Mahaux à Sauvenière, ainsi qu’à la rue de la Maladrée et la rue Try Baudine à Lonzée. De quoi sécuriser plusieurs endroits de la commune.

Le quartier derrière la gare ne restera pas à l’état d’abandon. Il se dessine de plus en plus concrètement. Il comprendra nécessairement des espaces et des équipements publics et se caractérisera par une indispensable mixité, que ce soit la mixité de logements, de fonctions, de services, d’équipements… 

La cour de l’école de Mazy va subir un relookage. C’est un projet assez particulier, puisque l’espace concerné est aussi le parvis de l’église ! Il s’agit donc de donner un coup de neuf à la cour de récréation, tout en garantissant la facilité d’accès à l’église et aux événements qui peuvent avoir lieu sur cette place.

Parmi les sujets mis sur la table du Conseil communal d’octobre, on retrouve un projet qui devrait ravir les habitants de Corroy. En effet, un nouveau parking va voir le jour à l’arrière de l’école et à proximité du complexe sportif. Voilà de quoi diminuer les nuisances et les stationnements envahissants que les habitants de la rue de la Maison d’Orbais doivent subir à l’entrée et à la sortie des classes ou lors d’événements ponctuels. 

Le projet d’aménagement d’un parc rue de la Maladrée à Lonzée avait été accepté par le Conseil communal en décembre 2016. Le projet est revenu devant le Conseil communal du mois de septembre, afin de faire approuver la version définitive du cahier des charges. L’occasion pour l’échevin Marc Bauvin de montrer quelques esquisses du futur parc.

Lors de la construction du nouvel Hôtel de Ville, un chêne rouge d’Amérique, qui avait été planté afin de commémorer la libération des camps, a dû être abattu. A l’époque, cela a, logiquement, suscité l’émoi, notamment parmi les associations patriotiques. Le Bourgmestre et les Echevins ont tenu à conserver le tronc de cet arbre afin de lui donner une nouvelle vie : il est appelé à devenir une sculpture réalisée par l'artiste Jacques Lefèvre et à retrouver sa place dans le parc d'Epinal.

Il y a deux ans, Gembloux lançait un appel à projets pour amener de nouveaux commerces dans le centre-ville. Son nom ? Creashop. Le principe est simple : des candidats-commerçants envoient leur projet suite à l'appel de la Ville de Gembloux. Un jury analyse les dossiers pour vérifier la viabilité des projets, leur qualité, leur originalité mais aussi leur pertinence par rapport aux besoins des Gembloutois. 

Des tables de discussions animées et constructives pour concevoir ensemble le Gembloux du futur... Une soirée de réflexions productives !

À l'ordre du jour du conseil communal de mars, il y avait évidemment de nombreux points. Mais l’un d’entre eux se démarquait particulièrement.  Et pour cause, il s’agit – ni plus, ni moins – du dossier concernant l’aménagement de la Place de l’Orneau.  Sur la table, ce jour-là : l’approbation d’un cahier des charges en vue de la désignation d’un auteur de projet pour l’étude de cet aménagement. Un premier pas pour un projet de longue haleine. A quoi ressemblera la future place de l’Orneau ? 

C'est avec beaucoup de tristesse que, ce 29 mars, les Conseillers communaux ont été amenés à prendre officiellement acte du décès de leur collègue et ami Guy Thiry.  Pour le bon fonctionnement du Conseil, il était nécessaire de nommer un nouveau membre. 1ère suppléante venant en ordre utile, Émilie Levêque a donc prêté serment en tant que Conseillère communale.  À noter aussi que c'est Emmanuel Delsaute qui devient chef de groupe Bailli. 

Le Conseil communal a été amené à approuver les rapports d'activités et financier du Plan de cohésion sociale pour l'année 2016.  Au départ d’une subvention régionale de 39.249,61 €, la Ville assume, en cette matière, des dépenses à hauteur de 136.756,13 €, bien au-delà des obligations qui lui incombent. A la faveur de ce point, le Bourgmestre Benoît Dispa, soutenu par l’ensemble du Conseil communal, a redit son mécontentement à l'égard de la réforme des plans de cohésion sociale préparée par la Wallonie.  Pour les communes comme la nôtre, cette réforme va restreindre, voire supprimer les subventions régionales dont elles bénéficient, au risque de fragiliser les actions qui sont menées depuis plusieurs années, avec des associations locales, en faveur du vivre-ensemble et de la cohésion sociale. 

La Ville avait déjà conclu en 2015 une convention d'assistance avec le BEP pour revoir le PCA "Gare".  Mais la législation ayant évolué, avec l’entrée en vigueur du nouveau Code du Développement territorial, une nouvelle convention s’imposait. L’objectif est de mettre en place un partenariat entre les opérateurs privés et publics, afin de concevoir ensemble un véritable "Quartier Nouveau", respectant les exigences les plus pointues en termes de qualité de vie, d’environnement, de mobilité, d’espaces publics et de mixité des fonctions. La Ville entend se donner les moyens de garantir la qualité et la cohérence des aménagements futurs.